Les faux-marbres se déclinent de mille façons, en combinaisons géométriques de différents types, en simple appareillage, en panneaux avec fausses moulures. On rencontre les faux-marbres dans les bâtiments patrimoniaux publics ou privés, églises, parfois ornés de moulures et décors.. Ils sont quelquefois enfouis sous des couches de peinture ou d’enduits et le restaurateur les dégagera avec minutie.
Voici quelques exemples de marbres peints.
Le marbre allusif, d’allure simple, présent dans le patrimoine rural ou modeste.
Le blanc veiné éclaire l’espace et apporte une sobriété
par opposition au vert de mer, qui est très dense et qu’on réserve plutôt à de plus petites surfaces, des soubassements ou des colonnes..
Le Rouge royal ou Languedoc, la brèche Caroline, le Port’or, le jaune de Sienne, le Campan etc..